Andorre a su conserver un patrimoine architectural d'une authentique richesse. La majeure partie du patrimoine architectural andorran se compose d'œuvres de nature religieuse, qu'il s'agisse des édifices (illustrés notamment par ses 40 petites églises), des sculptures ou des peintures. Les églises romanes andorranes sont de petites dimensions, bâties avec des matériaux disponibles dans le pays (granit, schiste, pierre ponce, ardoise) et adaptées aux nécessités du culte. Exceptionnellement bien conservées, ces églises forment un ensemble unique. Dressées au bord des vieux chemins, en haut de miradors surplombant les vallées, elles nous racontent le passé avec leur voix de pierre.
Ci-dessus, Sant Joan de Caselles
(XIe et XIVe siècles) le chefs-d'oeuvre des églises romanes andorranes.
Santa Coloma, ci-dessous, (IXe et Xe siècles), une des plus anciennes et des seules ayant un clocher circulaire. Sant Miquel d’Engolasters, ci contre, (XIIe siècle) dont le clocher mesure 17,5 m de haut.
Andorre a su conserver un patrimoine architectural d'une authentique richesse. La majeure partie du patrimoine architectural andorran se compose d'œuvres de nature religieuse, qu'il s'agisse des édifices (illustrés notamment par ses 40 petites églises), des sculptures ou des peintures. Les églises romanes andorranes sont de petites dimensions, bâties avec des matériaux disponibles dans le pays (granit, schiste, pierre ponce, ardoise) et adaptées aux nécessités du culte. Exceptionnellement bien conservées, ces églises forment un ensemble unique. Dressées au bord des vieux chemins, en haut de miradors surplombant les vallées, elles nous racontent le passé avec leur voix de pierre.
Ci-dessus, Sant Joan de Caselles (XIe et XIVe siècles) le chefs-d'oeuvre des églises romanes andorranes. Santa Coloma, ci-dessous, (IXe et Xe siècles), une des plus anciennes et des seules ayant un clocher circulaire. Sant Miquel d’Engolasters, ci contre, (XIIe siècle) dont le clocher mesure 17,5 m de haut.
